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Détails sur le produit
- Rang parmi les ventes : #27303 dans eBooks
- Publié le: 2017-01-05
- Sorti le: 2017-01-05
- Format: Ebook Kindle
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
2 internautes sur 2 ont trouvé ce commentaire utile.Superbe roman.
Par Kittynette
Dominique Fortier, titulaire d'un doctorat en littérature française, sait utiliser avec finesse et intelligence ce que la fréquentation et l'amour des Belles Lettres lui ont appris, lui ont légué, transmis.Son écriture est à l'image des grands auteurs classiques : elle écrit bien, et c'est de nos jours une qualité de plus en plus en voie de disparition.Il y a, dans son style, quelque chose de précieux, de rare, et parfois il me semble retrouver George Sand. Je pourrais citer d'autres auteurs, auteurs calmes, reposants, précis, cultivés. Bouillonnants aussi, mais sachant tourner leur plume, mettre en mots leurs sentiments profonds, qui sont souvent forts, épris de justice, s'interrogeant sur leurs semblables, leur époque, avec acuité et sincérité.Comme ils ont tous "des lettres", ils savent écrire, ils savent raconter.Et c'est bien justement ce que fait Dominique Fortier.Vous lirez tous avec intérêt et plaisir cette histoire contée d'une manière métaphorique, à l'image de ces courtepointes qui apparaissent à quelques endroits, racontant leur propre histoire, et qui ornent le roman, l'enserrent comme pour le contenir tout entier dans des mains qui ont mis leur cœur à le tisser et le coudre. Ainsi faisant, Dominique Fortier nous entraîne, selon sa chère habitude, dans des époques un peu éloignées des nôtres, pour raconter quelque chose de fort et de pathétique.Ici c'est le coton, des femmes, des guerres, une page d'histoire, des sentiments de toutes les couleurs.Des symboles. Des espoirs.Un bel ouvrage.
1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.Complètement restée sur ma faim
Par Hami
En Louisiane, au coeur des plantations de coton, un peu avant la guerre de sécession, et même pendant, où les noirs n'étaient pas libres et travaillaient comme des acharnés, sous l'oeil avisé du contremaître, le docteur Mc Coy, accompagné de sa fille, Eleanor, remarque Eva, une petite mulâtresse que l'on nomme aujourd'hui, métisse. Il décide de repartir avec elle ; et, c'est ainsi que les deux fillettes vont grandir ensemble, partageant la même chambre, presque comme deux soeurs, jusqu'à l'age adulte ; l'age où Eleanor prendra son envol pour vivre avec son époux et sa belle-mère.Parallèlement, en Alabama, nous avons Jena, une esclave qui pleure ses enfants vendus. Où sont-ils ? Que deviennent-ils ? Sont-ils toujours vivants ?C'est autour de ces deux histoires, voire, trois (l'auteure nous propulse, un bref instant, dans une autre époque, la nôtre, avec un prisonnier noir), que Dominique Fortier greffe des faits historiques de cette époque ségrégationniste mais sans trop s'attarder dessus, comme les prémices du ku klux klan, en 1865, l’émancipation des noirs, l'abolition de l'esclavage et cette guerre, où les noirs affranchis et esclaves étaient envoyés sur le terrain pour protéger les soldats blancs. L'une des plus meurtrières.Dans l'ensemble, mon avis en ressort mitigé. J'ai trouvé l'histoire assez plate, presque sans saveur, et par moments, très longue, malgré une plume remarquablement belle. L'auteure fait le choix de ne pas approfondir certains faits, et de ne surtout pas approfondir le lien qui unit Eva et Eleanor même adultes. On survole, frôle du bout des doigts et pendant toute ma lecture, je me suis demandé où Dominique Fortier voulait m'emmener. J'étais en attente de quelque chose, d'un passage qui me prend aux tripes, qui me donne envie d'avancer sans m’arrêter. Ce moment là est arrivé seulement vers la fin du livre à la venue du beau-frère. Bien dommage ! Moi qui adore lire et recherche encore et encore des romans sur la guerre de sécession, sur la ségrégation... je suis complètement restée sur ma faim.Alors oui, je ressors de là mitigée parce que l'auteure n'a pas réussi pleinement à me toucher avec ce roman, néanmoins, certains passages restent touchants et convaincants.
1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.Belle écriture et belles images du "vieux sud américain"
Par Prodi
La guerre de sécession et ses « préquels » est un thème d’actualité, notamment au travers du cinéma (Free state of Jones, the birth of a nation) . L’auteure canadienne Dominique Fortier nous offre un portrait et une aventure forte au cœur de la Louisiane et de l’Alabama de l’époque coloniale, qui par moments nous rappellent un peu le grand classique « La case de l’Oncle Tom ». D’ailleurs l’une des héroïnes porte le nom de « Eve », doit-on y voir un clin d’œil à Evangeline dans le prestigieux roman ?Bref, la vie de la plantation paraît immuable : les esclaves noirs cueillent les boutons blancs dans les champs de cotons. Les femmes cousent des morceaux tissus ensemble en attendant le retour de leurs guerriers.C’est dans ce cadre que deux fillettes vont lier leurs vies.Eleanor a une douce peau d'albâtre. Guenièvre ,de son nom d'adoption est appelée «Eve» . Elle a la peau couleur charbon. Ces deux petites filles que tout oppose vont être élevées ensemble, Eve la petite fille esclave, étant recueillie par un médecin, papa d’Eleanor. Elle devient alors à la fois bonne, et fille de compagnie. On suit ainsi la vie des deux petites filles dans cette famille bourgeoise, leur évolution et même leur début de vie d'adulte. L'auteure nous ouvre les portes de leur intimité et laisse un large champ visuel à ses lecteurs sur la vie de deux êtres humains que rien ne pourra rendre égal.Plutôt habilement rattachés à la trame du roman, des faits historiques et géographiques viennent enrichir l'esprit du lecteur sur la guerre de sécession en évoquant les conditions de vie des esclaves, la naissance du Ku Klux Klan ou l'émancipation de certains états.L’écriture est assez poétique, le style pudique mais malgré tout intime.Pour tous ceux qui, comme moi s’intéressent à cet épisode douloureux de l’histoire américaine (Nord et Sud, Autant en emporte le vent, Glory, Les Quatre Filles du docteur March...), ce roman est plutôt dépaysant et plaisant mais manque un peu d’émotions et ne s’épargne pas quelques longueurs et digressions. Il présente cependant un bel hymne à la liberté.
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